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Paul-Jacques Bonzon a connu un réél succès d’édition. Il fut énormément lu. Il n’est pas rare de trouver sous la plume d’auteurs récents ou dans les propos de certains personnages en vue des références au romancier pour la jeunesse que fut l’auteur des Six compagnons et de bien  d’autres ouvrages aux titres évocateurs. C’est la raison qui nous amène aujourd’hui à concevoir une rubrique  pour recenser ces références. En commençant par Michel Houellebecq, c’est un appel à tous les internautes et lecteurs pour nous signaler leurs trouvailles au moyen de la page contact située en bas de la page d’accueil.

 Michel Houellebecq

Les Particules élémentaires est un roman publié en 1998 chez Flammarion. Ce deuxième roman de l’auteur a reçu l’ultime prix Novembre et a été élu par la rédaction de la revue Lire « meilleur livre de l’année 1998 ».

Des deux protagonistes du roman, Michel et Bruno, l’un est un scientifique de renom, l’autre est anonyme ; l’un a choisi une solitude absolue, l’autre ne l’a pas choisie mais la subit quand même ; l’un et l’autre sont frères et n’ont rien en commun, sinon cette propension au malheur. Chacun de leur côté, en se traînant de fiasco en désastre, et de retraite en désert, ils vont faire de leur vie la preuve de ce désenchantement du monde et révéler enfin la clef des rapports entre les hommes : l’illusion. Par leur parcours familial et sentimental chaotique, les deux demi-frères illustrent de manière exemplaire la société et la complexité des relations.

Michel Houellebecq évoque Paul-Jacques Bonzon en ces termes [1] : « … Bruno se plongea dans Les Six compagnons et l’homme au gant, probablement le chef d’œuvre de P.-J. Bonzon, récemment réédité à la Bibliothèque verte… » 

 

[1] Houllebecq, Michel, Les particules élémentaires, Paris, Flammarion, coll. J’ai Lu, nouvelle génération, N°5602, 1998, p.113.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Particules élémentaires est un roman publié en 1998 chez Flammarion. Ce deuxième roman de l’auteur a reçu l’ultime prix Novembre et a été élu par la rédaction de la revue Lire « meilleur livre de l’année 1998 ».

 

Des deux protagonistes du roman, Michel et Bruno, l’un est un scientifique de renom, l’autre est anonyme ; l’un a choisi une solitude absolue, l’autre ne l’a pas choisie mais la subit quand même ; l’un et l’autre sont frères et n’ont rien en commun, sinon cette propension au malheur. Chacun de leur côté, en se traînant de fiasco en désastre, et de retraite en désert, ils vont faire de leur vie la preuve de ce désenchantement du monde et révéler enfin la clef des rapports entre les hommes : l’illusion.
Par leur parcours familial et sentimental chaotique, les deux demi-frères illustrent de manière exemplaire la société d’aujourd’hui et la quête complexe de l’amour vrai.

 

L’auteur évoque Paul-Jacques Bonzon en ces termes [1] : « … Bruno se plongea dans Les Six compagnons et l’homme au gant, probablement le chef d’œuvre de P.-J. Bonzon, récemment réédité à la Bibliothèque verte… » 

 

[1] Houllebecq, Michel, Les particules élémentaires, Paris, Flammarion, coll. J’ai Lu, nouvelle génération, N°5602, 1998, P.113.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Particules élémentaires est un roman publié en 1998 chez Flammarion. Ce deuxième roman de l’auteur a reçu l’ultime prix Novembre et a été élu par la rédaction de la revue Lire « meilleur livre de l’année 1998 ».

 

Des deux protagonistes du roman, Michel et Bruno, l’un est un scientifique de renom, l’autre est anonyme ; l’un a choisi une solitude absolue, l’autre ne l’a pas choisie mais la subit quand même ; l’un et l’autre sont frères et n’ont rien en commun, sinon cette propension au malheur. Chacun de leur côté, en se traînant de fiasco en désastre, et de retraite en désert, ils vont faire de leur vie la preuve de ce désenchantement du monde et révéler enfin la clef des rapports entre les hommes : l’illusion.
Par leur parcours familial et sentimental chaotique, les deux demi-frères illustrent de manière exemplaire la société d’aujourd’hui et la quête complexe de l’amour vrai.

 

L’auteur évoque Paul-Jacques Bonzon en ces termes [1] : « … Bruno se plongea dans Les Six compagnons et l’homme au gant, probablement le chef d’œuvre de P.-J. Bonzon, récemment réédité à la Bibliothèque verte… » 

 

[1] Houllebecq, Michel, Les particules élémentaires, Paris, Flammarion, coll. J’ai Lu, nouvelle génération, N°5602, 1998, P.113.

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